Après une interview, ce samedi 29 août des journalistes ne s’entendent pas,
ils se battent, ils créent des dégâts et la police les chopent.
Scène insolite à l'occasion d'une messe initiée par l'ancien patron de la douane, Paul Lafia Tabé, nommé général des douanes le 1er août par le président Boni Yayi.
- La
faute aux perdiems
- La
faute aux patrons qui ne payent pas les salaires
- La
faute à l’éducation de chacun
Mais pourquoi en rajouter, avec des scènes du genre, alors
que nous sommes déjà sous les critiques, tous les jours ?
Le montant objet de la bagarre suffira-t-i à réparer les
dommages causés à autrui?
J’espère que ce nième cas va nous réveiller enfin.
L’informel séjourne depuis trop longtemps dans notre métier. Il faut assainir et sécuriser
la profession.
On me dira aussi qu’il y a pire ailleurs, puisque deux
journalistes français ont été arrêtés cette semaine et mis en examen pour avoir
tenté d’escroquer le roi du Maroc.
Mais là, ils auraient réclamé 3.000.000 d’euros pour
ne pas sortir un livre contre le roi Mohammed XI.
C’est du lourd, c’est presque 2 milliards de francs CFA. 
