jeudi 13 août 2015

Vacances et maxi dépravation à Cotonou

Nous sommes en pleines vacances. Et les jours vous croisez des jeunes filles très peu habillées dans les rue de Cotonou. Un bout de tissu en haut et un autre bout en bas et c'est tout. Ça va des petites filles du primaire aux grandes filles du collège.
Elles s’habillent comme on le voit à la télévision. Un « petit haut » plus un « petit bas » et voici les dégâts pour la vue dans les rues d’une ville africaine où les habitudes de la pudeur restent.
Dans les rues, sur les lieux de manifestations publiques, à la plage et même pour aller au cours de vacances, ça saute aux yeux. 
Certaines filles "se dénudent" par mimétisme. D'autres le font dans l'espoir d'attirer des garçons et même des hommes.
Quand il s’agit de prendre un taxi moto, c’est tout un autre spectacle. Il faut bien soulever une jambe pour  monter, sans laisser « s’échapper » le dessous sous le bout de tissu.  
Les parents sont-ils conscients que les prédateurs sont de plus et nombreux et de plus en plus impitoyables?
C’est vrai que souvent des regards réprobateurs se posent souvent sur ces filles dans la rue, mais ça ne résout par les problèmes.  
Les cybercriminels qui essaiment la ville et d’autres prédateurs sont toujours à l’affût, de jour comme de nuit, pour attirer celles qui sont conscientes de ce qu’elles font et celles qui ne savent pas. D’où les multiples grossesses enregistrées chaque année pendant les vacances chez des filles majeures et mineures.



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