Après une interview, le 29 août dernier, deux journalistes béninois ne s’entendent pas. Ils se battent au point de créer des dégâts. La police a dû les arrêter. Scène insolite à l'occasion d'une messe initiée par l'ancien patron de la douane, Paul Lafia Tabé, nommé général des douanes le 1er août par le président Boni Yayi.
Les deux confrères se sont cognés à cause de la somme d'argent que l'interviewé leur a donnée. A l'origine, c'était donc une affaire de de perdiems entre des journalistes dont le salaire n'est pas toujours garanti. Pourquoi en rajouter, avec des scènes du genre, alors que les journalistes béninois sont déjà sous les critiques, tous les jours ? Le montant objet de la bagarre suffira-t-il à réparer les dommages causés à autrui? Pas sûr!
Les deux confrères se sont cognés à cause de la somme d'argent que l'interviewé leur a donnée. A l'origine, c'était donc une affaire de de perdiems entre des journalistes dont le salaire n'est pas toujours garanti. Pourquoi en rajouter, avec des scènes du genre, alors que les journalistes béninois sont déjà sous les critiques, tous les jours ? Le montant objet de la bagarre suffira-t-il à réparer les dommages causés à autrui? Pas sûr!
L’informel a pris possession de la presse depuis trop longtemps. Il faut assainir et sécuriser la profession.
On dira aussi qu’il y a pire ailleurs, puisque deux journalistes français, Eric Laurent et
Catherine Graciet, ont été arrêtés dans la nuit du 28 au 29 août et mis en examen pour avoir tenté d’escroquer le roi du Maroc. Mais là, ils auraient réclamé 3.000.000 d’euros pour ne pas sortir un livre contre le roi Mohammed XI. C’est du lourd, c’est presque 2 milliards de francs CFA.
Catherine Graciet, ont été arrêtés dans la nuit du 28 au 29 août et mis en examen pour avoir tenté d’escroquer le roi du Maroc. Mais là, ils auraient réclamé 3.000.000 d’euros pour ne pas sortir un livre contre le roi Mohammed XI. C’est du lourd, c’est presque 2 milliards de francs CFA.
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