On l'entend de plus en plus.
La lutte contre la corruption, sous
le régime de la Rupture serait sélective. Selon l'opposition béninoise,
certaines personnalités, également trempées dans des affaires seraient à l'abri
des poursuites judiciaires.
Le parti communiste du Bénin, PCB, par
exemple, ne comprend pas que le syndicaliste Laurent Mètongnon soit en prison,
dans l’affaire CNSS-BIBE, pour deux millions 500 mille francs, alors que les
auteurs des scandales ICC Services, CEN SAD, Machines agricoles, Maria Gléta,
achats de motos à cinq millions sont toujours en liberté.