Adrien Houngbédji a été investi hier, dans ses fonctions de président de l'assemblée nationale. Il a été grand, profond, humble, presque parfait dans son discours. Il promet de travailler à faire disparaître la transhumance politique, entre autres. Mais nous allons le juger sur les faits. Et ça ne devrait pas tarder. Les retards, les absences de ses collègues et pas des moindres, les commissions d'enquêtes parlementaires dont les rapports dorment dans la poussière, les députés hommes d'affaires qui trempent dans des affaires etc.
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